L’ Assemblée régionale Ecolo de Wallonie picarde a élu, ce 19 octobre 2021, une nouvelle équipe à la coprésidence de la régionale pour un mandat de deux ans. Celle-ci est composée de Myriam Gabriel (Bernissart), coprésidente de la locale Ecolo de Bernissart, de Louis Mariage (Tournai), coprésident sortant, de Marie-Anne Grard (Tournai) et de Jean-Philippe Papart (Comines-Warneton). Ces deux derniers furent également co-président régionaux par le passé, respectivement de 1991 à 1996 et de 2007 à 2011.

La nouvelle coprésidence veut s’inscrire dans la continuité de l’équipe sortante qui était composée d’Hélène Wallemacq (Bernissart), Louis Mariage (Tournai) et Esther Ingabire (Ath).

« Notre ambition est de renforcer les militants Ecolo face aux défis importants que sont la lutte contre le réchauffement climatique, le maintien de la biodiversité, les offres de mobilité, le développement de l ’économie soutenable et des emplois de qualité, la lutte contre la précarité, l’égalité des genres, et bien d’autres encore » déclare Myriam Gabriel.

« Pour ce faire, notre coprésidence se veut opérationnelle et guidée par trois axes : 1. resserrer les liens entre militants et membres après ces deux années de distanciation sanitaire, 2. renforcer Ecolo WaPi dans son action politique et 3. valoriser les actions des locales et nos élu·e·s » ajoute Marie-Anne Grard. Ceci invite au travail participatif, conjointement, des citoyen·ne·s, des associations, des militant·e·s et des élu·e·s à tout niveau de pouvoir afin d’ouvrir les portes et de co-construire l’action politique avec l’ensemble des citoyens.

« Nous n’oublions pas la jeunesse picarde ! Elle nous l’a encore prouvé récemment. La jeunesse est l’avenir, et cet avenir ne peut se construire sans elle. C’est pourquoi il est capital pour nous d’aller à leur rencontre afin de connaître leurs aspirations.» souligne Louis Mariage.

In fine, les coprésident·e·s Ecolo WaPi se veulent organisateurs et rassembleurs pour travailler avec le sérieux et les valeurs propres à Ecolo, sur les dossiers régionaux et locaux. « Car il n’y aura pas de transition écologique sans justice sociale, nous aurons à cœur de nous atteler à une transition juste et solidaire comme projet » avance Jean-Philippe Papart.

Ce qui n’empêchera nullement les manifestations conviviales voire festives. Le confinement nous l’a montré, si l’on veut construire un projet de société qui inclut l’ensemble de ses individu.e.s, il est essentiel de prendre le temps de se croiser, de partager des moments, de se parler “en vrai” afin que des liens se créent et que les projets prennent forme.